
Juliette Deschamps renouvelle l’art lyrique
LE FIGARO
La vidéaste Juliette Deschamps met en images le célèbre opéra de Mendelssohn
et y insuffle toute la beauté et la force
des enfants des bidonvilles d’Angola
TELERAMA
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Il y a de sacrées gueules dans la Carmen de Juliette Deschamps
LE MONDE
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C'est l'essence de Carmen,
d'une autre manière que ce que fit Peter BrooK (...)
Mais la quête de Juliette est aussi exigeante et intelligente. Et surtout sensible. C'est beau et bouleversant.
LE FIGARO
L'artiste française privilégie des poses quasi picturales, entre sculpturalité et mobilité lente. Des tableaux d’une grande force émotionnelle.
La peinture laisse toujours une marge à l’imagination du spectateur, et Juliette Deschamps l’a parfaitement compris dans ce dispositif qui ne s’abîme jamais dans l’improbable illustration vidéographique de concert.
CONCERTO NET
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Pour cette extraordinaire interprétation,
pour la beauté et la cohérence de ce spectacle,
on ne peut que souhaiter le renouveau de la tradition ancienne du pasticcio.
RES MUSICA
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Quand il est mis en scène avec le goût
et l’intelligence de Juliette Deschamps,
Chérubin permet de passer une excellente soirée.
OPERA MAGAZINE
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Stunning performance
THE NEW YORK TIMES
Juliette Deschamps est devenue
en quelques saisons
l'un des meilleurs metteurs en scène
du domaine lyrique.
LE FIGARO
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La performance devient une sorte de rituel
où des arts s’unissent
le temps de la célébration.
Ce n’est pas la moindre des réussites
que d’y parvenir avec cette grâce.
FORUM OPERA
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Rêve éveillé où les mots prennent chair
et où les mélodies saignent.
L'EXPRESS
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Sa direction d’acteur
est d’une précision impeccable,
guidant minutieusement son héroïne
entre maîtrise et sincérité.
LE MONDE
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Juliette Deschamps fait entrer
la musique et l'image en vibration
et marie dans une subtile harmonie
la musique et la vidéo haute définition.
NICE MATIN
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Cet alliage potentiellement incongru est composé avec grâce et subtilité :
la vidéo ne vole pas la vedette à Mendelssohn. Au contraire, elle l’épice et l’alimente
comme en ce moment même à Bastille,
dans un autre registre mais complémentaire,
le Tristan et Isolde par Bill Viola.
OLYRIX
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Une oeuvre à l'esthétique rare, poignante
LE COURRIER DE L'ATLAS
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